jeudi 16 août 2012

n°8









Lorsque Deborah me disait, il y a quelque semaines, que le livre de Véronique Ovaldé, Ce que je sais de Vera Candida, était vraiment agréable à lire j'avais du mal à complètement la croire. Je crois que le fait d'avoir le visage de l'auteure sur la couverture me refroidissait un peu (c'est tout de même fou les à priori). 
J'ai tout de même était intrigué par ce qu'elle pouvait m'en dire et je lui ai emprunté. Quelle bonne idée!
Ce que je sais de Vera Candida est un roman, un vrai. Un de ceux que l'on glisse dans la valise lorsque l'on part quelques jours à la campagne. Un de ceux qu'on ne peux s'arrêter de lire qu'à la dernière page. 
Véronique Ovaldé construit une île, construit des femmes et leur distin, construit des mythes.

Je pense maintenant chercher ses autres livres pour voir si la magie opère encore. 
Par contre, je ne comprendrai jamais pourquoi un éditeur choisi de gâcher une couverture avec une photo (vraiment pas terrible) de l'écrivain. Ce détail à  failli me faire passer à côté d'un très bon moment de lecture. 


j-4 








4 commentaires:

  1. Je suis bien d'accord avec toi ! A chaque fois que je vois une photo de l'écrivain je m'attends à lire du Mussot ou du Anna Gavalda. Erreur. Comme quoi on peut faire confiance à Ombre Blanche ! Belle découverte :)

    RépondreSupprimer
  2. moi aussi je suis très attirée par les covers...tu me tente avec ce livre!
    j'adore ton blog et tes photos sont supers!

    RépondreSupprimer
  3. Si la photo de l'auteur est plutôt rédhibitoire, ton post lui, donne envie de découvrir ce livre!
    Je note donc ses références dans mon petit carnet...

    RépondreSupprimer