En regardant les photos que j'ai ramené de ces trois jours en Ardèche je réalise qu'une fois de plus j'aurais passé beaucoup de temps la tête en bas à écouter les vibrations des fourrés. Je prends beaucoup de plaisir à découvrir les couleurs d'une araignée, à m'attendrir devant une fleur minuscule, à tenter de capturer l'image de la couleuvre qui file, à noter les détails qui font de la forêt un lieu tellement vivant. Une fois qu'il se loge dans l'oeil, le détail devient une évidence.
Il va falloir que je m'organise pour pouvoir y retourner lorsque les journées seront brulée par l'été, lorsque ce lieu redeviendra source de fraicheur et de repos.
La 3ème photo est dingue, ces troncs, cette perspective...! On est emporté très très loin...
RépondreSupprimermais comment fais-tu pour dénicher des insectes plus beaux les uns que les autres....
RépondreSupprimerj'aime passionnément photographier l'infiniment petit, mais c'est très difficile, malgré un super objectif macro offert par mon amoureux...